Le rosier grimpant Parure d'Or est une obtention du rosiériste Delbard de 1965.
Le rosier grimpant Parure d'Or est une obtention du rosiériste Delbard de 1965.
Le soleil se couche. Une belle épeire Diadème profite des derniers rayons cachée dans le feuillage de l'armoise Cola Kraut.
Ne vous fiez pas à votre première impression...
Pauvre Magali ! Les feuilles de son rosier-tige sont envahies de voraces chenilles !
Que nenni ! Il ne s'agit pas de chenilles mais de larves d'un hyménoptère, la tenthrède du rosier ou Hylotome du rosier. De fausses chenilles en fait ! Elles adoptent une position de défense en S, mais cela ne les a pas sauvées de l'écrasement.Comme il s'agit d'un ravageur des rosiers, il est important de ne pas les laisser se multiplier. Je lutte écolo, c'est-à dire que je détache délicatement le restant de feuille sur laquelle les larves sont affairées à manger et que je le dépose sur une surface dure afin d'écraser toutes les tenthrèdes.
Je retrouve des nids de mantes religieuses par-ci par-là, vides bien sûr. Années après années, ces insectes sont plus présents dans le jardin.
La ponte de la mante est entourée d'une enveloppe en protéine qui durcit au séchage. Elle éclot en mai.
CQFD
Il paraît que la femelle Piéride est plus jaune que le mâle. Elle serait donc à gauche sur la photo.
Alors ça, c'est du camouflage !
Une sauterelle juvénile en pleine mue s'est posée sur une rose desséchée. Dans quelques heures elle sera toute verte, ses ailes se seront allongées et son abdomen affiné.
Quelle fleur délicate !
Elle a offert sa floraison rose pendant tout l'été. Une fleur sans souci, qui aime le soleil et les sols poreux.
Les asters, ou marguerites d'automne, entament leur floraison. C'est bien la fin de l'été !
Les pieds de potimarrons envahissent généreusement le fond du potager. J'adore ! C'est ma petite jungle.
En revanche quand il faut tondre, cela ne me facilite pas la tache...
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