13 janvier 2012
5
13
/01
/janvier
/2012
18:29
Ce parfum de nos années mortes
Ceux qui peuvent frapper à ta porte
Infinité de destins
On en pose un, qu'est-ce qu'on en retient ?
Le vent l'emportera.
Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi.
Le vent les portera.
Tout disparaîtra. Le vent nous portera.
13 janvier 2012
5
13
/01
/janvier
/2012
17:48
12 janvier 2012
4
12
/01
/janvier
/2012
07:01
14 septembre 2011
3
14
/09
/septembre
/2011
08:29
Je ne sais si mes 3 enfants ont déjà pleinement conscience de la chance qu'ils ont de vivre près de l'Océan. Grandir ici,
c'est tisser à leur insu des liens solides avec l'élément eau. Accepteront-ils de s'éloigner pour construire leur vie d'adulte ?
Après les cours, une session de surf. Mon aîné a été initié au surf à partir de ses 7 ans, tout doucement, par son père. 7
ans après et surtout grâce au relais du club de surf local, les images commencent à offrir de beaux mouvements, même sur de petites vagues.
1 septembre 2011
4
01
/09
/septembre
/2011
06:52
Il y a forcément des pêcheurs en mer parmi vous qui le connaissent... Impossible pour moi de l'identifier. Rencontré hier sur la
côte landaise, il mesure environ 40 cm, possède de petites dents acérées carnassières et a un corps avec des reflets bleus.
Mon père me dit qu'il s'agit d'une aiguille, oui mais laquelle ? Elle ne ressemble pas à celles que je trouve sur le
web.
Corsaire31 me suggère une orphie, je crois bien
qu'il a raison.
1 septembre 2011
4
01
/09
/septembre
/2011
06:02
La grande majorité des touristes a quitté la ville afin de préparer la future rentrée scolaire, et ce n'est pas le violent orage, qui
déverse des trombes d'eau depuis hier soir, qui va inverser le mouvement.
Hier la houle était si plate que la leçon de surf fut théorique. En attendant de récupérer mon grand fiston, j'ai fait une
promenade en bord d'Océan afin d'essayer le Reflex alpha230 de Sony. Voici donc un échantillon d'images.
Je n'ai pas réussi à identifier ce poisson, pourtant j'ai cherché tout hier. Il mesurait environ 40 cm, et était pourvu de petites dents acérées. La photo ne
montre pas les reflets légèrement turquoises de son corps.Une coque cherchait à s'enfouir alors que la marée descendait.La pourpre ( Nucella lapillus) est capable de ravager des bancs de moules. Ce mollusque perfore la coquille de ses victimes et y injecte une sécrétion
acide.L'astéride, ou étoile de mer, est normalement pourvue
de 5 bras. Elle s'attaque le plus souvent aux moules et aux huîtres dont elle maintient les valves ouvertes avec ses bras avant d'y introduire son estomac dévaginé ( la digestion se fait en
dehors du corps de l'étoile de mer). Les sucs digestifs lui permettront d'absorber sa proie dont les tissus seront devenus semi-liquides.Je pensais que ces moules s'étaient regroupées sur du
verre. Que nenni ! A la place d'un support constitué d'une longue algue, elles ont élu domicile sur une poche plastique.
Voyez-vous la minuscule étoile de mer ?Enfin ce que je pense être un os de mammifère
marin.
Alors avez-vous senti l'air délicieusement iodé de l'Océan ?
22 juillet 2011
5
22
/07
/juillet
/2011
09:27
Il y a une crevette et une escabène à débusquer sur ces 2 photos. Ouvrez grand les yeux !
22 juillet 2011
5
22
/07
/juillet
/2011
09:10
22 juillet 2011
5
22
/07
/juillet
/2011
08:47
Les vacanciers n'ont
décidément pas de chance ! Au mauvais temps, se rajoute l'interdiction sanitaire de se baigner. Notre côte landaise est envahie par les physalies, dont le nom vient du grec et signifie " bulle
d'eau ". Leurs couleurs varient du bleu, en passant par le violet et le rose.
Par malchance, elles sont venimeuses. Ce ne sont pas des méduses.
Ces organismes, qui vivent dans les mers tropicales ou subtropicales, échouent parfois en Europe sous l'effet des vents
dominants et des courants marins. Ces derniers poussent leur flotteur, le pneumatophore, au dessous duquel pendent des filaments très urticants ( nématocystes) de plusieurs mètres de long.
Le venin des nématocystes est actif malgré la mort de la physalie.
27 juin 2011
1
27
/06
/juin
/2011
21:38
J'ai conscience de vivre dans un lieu privilégié : la côte landaise.
Après une journée de travail où nous avons sué toute notre eau tant la chaleur était étouffante, nous avons improvisé une
sortie en bord de mer pour nous rafraîchir un peu.
Arrivée à 19h. Les touristes, déjà présents, quittaient la plage.
Au large, un orage éclatait, zébrant l'horizon de nombreux éclairs. Les surfeurs irréductibles, dont font partie mes 3
mâles, continuaient à jouer avec les vagues, le mauvais temps s'éloignant vers le nord.
La luminosité était métallique, baignée d'embruns. Le vif éclat des reflets du soleil aveuglait le regard.Et les chevilles de la jardinière, dévorées par les insectes, parce qu'elle garde la mauvaise habitude de jardiner en
tongs dès les beaux jours...